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Mon choix de la deuxième transcription d’œuvre de Bach se porta volontairement sur une œuvre au caractère très différent. La Suite pour clavecin BWV 822 me séduisit d’emblée avec sa très orchestrale ouverture à la française, les influences italiennes (Aria), ainsi que les autres danses racées qui la composent, proches également du baroque français. On n’est pas ici dans le même registre de grandeur et d’abstraction que dans la Fantaisie et Fugue, mais en présence d’un charme et d’une intimité proches de l’humain…
Tedi Papavrami
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